mercredi 26 mars 2014

AT5, traces, ce qu'il en reste

Certes, comme disait mon père. 
Le silence à beau être d'or, nous n'avons pas tous la vertu des femmes de marins. Bien que nul n'attende plus, d'ailleurs, ce petit vélo de navire interne qui chemine dans ma cervelle, je me heurte à l'évidence du maintien des choses dans l'existence. Il me faut publier à nouveau. 
Est-ce rendre des comptes de la non-vacuité de mon temps? Une tentative de transmission? Pourquoi communiquons-nous, je vous le demande...

Mais ai-je besoin de faire en ce lieu (j'ai écrit lien) le détail de mes projets d'école? Foutre non. Et ce n'est point le cas. Nulle envie d'un site me prouvant paysagiste. Enlevons les boites. 
Il ne serait cependant pas honnête de les omettre. Voici ci-dessous quelques traces de l'AT5. Un story-board décousu. Les conjugués retours de pêche, et en ma mémoire sélective, et en celle d'un PC semi-lobotomisé.

Septembre, octobre, novembre 2013
AT5: Autour de l'axe de Meudon.
Site: Meudon et environs, sud-ouest de Paris
Groupe: Marie-Laure, Camille et Claude-Lucie et moi-même
"Du vertugadin au vertueux gadin". Plein de promesses. 
 Nota Bene: Deux béquilles et illumination, étang de Meudon











"La coupure, à l'inverse de la couture! Vous hésitez parfois entre cirque et taï-shi. Il vous faut d'avantage d'aller-retours entre vous, entre le site et vous. Entraînements et transmission d'énergie dans un seul et même système. Votre phrase urbaine doit trouver sa syntaxe, sa grammaire. Belle mise en danger: à vous maintenant de trouver la bascule entre anecdote et profondeur." Bruno Tanant, Esther Salmona.

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